Une affirmation non démentie ni confirmée par la suite. Une exigence qui ne se limiterait pas au sport Roi mais également à d’autres disciplines sportives. Les « on-dit » véhiculaient que des athlètes ne remplissaient pas les critères définies par les sélectionneurs mais figuraient tout de même sur la liste des partants aux déplacements. C’est en effet à travers les rencontres internationales que des jeunes nationaux purent jouir des déplacements à l’extérieur d’où cette « demande » des dirigeants politiques qui s’est élargie aussi aux membres du staff technique et des composants de la délégation.
A part le domaine sportif, les concours, notamment administratif, étaient eux aussi victimes de ce quota régional dicté par des personnes adeptes du populisme et en manque d’argument pour convaincre leurs sujets. Sans tenir compte des performances, des capacités, des savoir-faire, des expériences et bien d’autres critères pour dénicher les meilleurs candidats ou éléments, ces gens dépourvus de moyens légaux pour renvoyer l’ascenseur à leurs proches usent de leur position pour faire passer ces directives honteuses. Il n’est pas étonnant ainsi de voir certains agents administratifs qui ne sont pas du tout, et pas du tout, à la hauteur des exigences de leurs fonctions.
A l’unanimité, les observateurs estiment que ce genre de quota régional ne devra plus être de mise actuellement. A armes égales, les candidats à des concours devront être traités sur le même pied qualité sans la moindre considération sur leur origine, religion ou autres critères. Seule la compétence doit primée sinon ceux qui sont considérés meilleurs mais hors quota, malgré eux, seront pour toujours recalés. Il est inadmissible ainsi que des élus, à tous les niveaux, osent encore quémander ce quota régional dans l’admission à un concours administratif.
La Rédaction